15 juin 2010

BELEM

Du 1er au 5 mai 2010

Bus de nuit, arrivée le matin, pour une fois ce n'est pas trop galère de rallier la rodoviaria au centre ville, on trouve une pousada assez rapidement.
Étonnement il y a beaucoup de Français. Entre autres personnages, nous rencontrons Franck, qui parcours le Brésil du sud au nord... A PIEDS!, 4 septuagénaires qui font Afrique/Brésil en voilier, Sophie la végétarienne belge, Eva et François, un couple français parcourant le monde à la vitesse grand V, Etienne qui s'en va s'installer en Amazonie, et aussi David et Simon, 2 anglais parlant couramment l'anglais et rien d'autre...
Cette ville empreinte d'un certain mysticisme compte tenu de sa situation géographique a beaucoup de charme, notamment près des docks.
Son fameux marché Ver o Peso grouille de brésiliens typés indiens qui vendent des poissons incroyables et autres légumes et fruits aux noms inconnus, on y trouve aussi des potions de sorcières en tout genres pour être aimé ou guérir divers maux, leurs couleurs vert émeraude, rose bonbon et j'en passe sont bien plus alléchantes que les prospectus de Château Rouge appelant à courir "comme une chien derrière son maître"...
Concernant les fruits, ils sont beaux pour sûr! Mais de là à dire qu'ils sont bons, on ne sait pas... J'ai juste vu qu'ils étaient lavés avec l'eau du fleuve... soit le petit coin des bons gars du marché. Chercher l'erreur!
Finalement, nous ne restons que 3 jours à Belém. L'appel du tant attendu fleuve Amazone se fait pressent et nous filons embarquer à bord du Rodrigues Alves III pour une traversé de 3 jours et demi en direction de Santarem.



SAO LUIS

du 29 avril au 1er mai 2010

Elle est considérée comme la capitale Brésilienne du reggae mais ça ne saute pas aux yeux...Nous sommes restés dans le centre historique, quelques jolies maisons couvertes d'azulejos, le tout un peu décrépis quand même....c'est joli mais sans plus.
Nous passons une bonne soirée avec Monica et Andrea, envoutés par un groupe de musiciens improvisé au sein du marché...on danse, on boit, on se paye un bon repas cher et on se dit "au revoir, à bientot", ça fait bizarre de les quitter, on est un peu tristounnets.

A EVITER: la pousada Internationale, c'est sale, glauque, cher (pour ce que c'est) et le patron est con.